Depuis quelques jours mon Oeuvre au mémorial fait quelque peu débat.
Je vous écris donc cette note afin de donner ma réponse.
Je n’ai en aucun cas voulu offenser ou choquer.
Mes crapauds ne sont pas créés dans ce but. Je les conçois plus comme une offrande à La ville et à ces habitants.
Lors de mes multiples périples urbains, j’ai constaté que le Mémorial des camps de la mort était toujours fermé et ceci depuis maintenant quatre ans. Une passerelle au dessus de la tête, délaissé au profit du Mucem. Un mémorial oublié.
C’est ce paradoxe que j’ai voulu souligné.
Le crapaud marseillais, lui, se rappelle.
Alain Paris